A quoi rêvent les familles en 2024 ?

A quoi rêvent les familles (1200 x 800 px)

LLes rêve sont le reflet de nos aspirations profondes, façonnées par notre époque et nos expériences de vie. En explorant les grandes aspirations de parents qui avaient 20 ans dans les années 1995-2000, nous sommes témoins d’une mosaïque de désirs qui révèlent à la fois l’unicité et les similitude d’une génération qui doit aujourd’hui profondément remettre en question ses appuis.

A la croisée des rêves des parents des années 1995-2000 émerge une image complexe et riche, révélant les aspirations communes qui transcendent les aspirations individuelles. Ces rêves, bien qu’ancrés dans le passé, continuent de résonner dans le présent, contribuant à façonner le quotidien de cette génération et des générations à venir.

Une étude mobilisatrice

Près de 600 répondants ont contribué à nourrir la réflexion (580 exactement). Si ce sont principalement des femmes qui ont fait part de leurs rêves pour elles-mêmes, leurs familles, le monde et leurs enfants, homogénéité des réponses est surprenante (rassurante ?) alors que la répartition CSP+/CSP- est conforme à celle de la population française.

A l’arrivée, c’est un éclairage saisissant et une mise en perspective passionnante qui est livrée, parcourant :

  • Les rêves de ces parents lorsqu’ils avaient 20 ans

  • Leurs rêves aujourd’hui, ce qui les rassemble, les éloigne

  • Le monde auquel ils aspirent

  • Leur vision du progrès et leurs rêves de consommation

  • Les champs d’exploration pour un futur désirable

Rêver demain, c’est penser aujourd’hui

Les rêves de leurs 20 ans sont mis à mal par le présent. Mise en perspective de l’évolution du monde, les piliers tels que le désir de faire famille et de s’y épanouir, de voyager, d’être heureux et d’atteindre la sécurité financière par le travail chancellent. Presque rabaissés au regard de la réalité, les rêves d’aujourd’hui – pour demain – parlent d’une génération sacrifiée (la fameuse génération X) qui cherche la réconciliation.

Elle a des équations à résoudre :

  • Le voyage reste une quête universelle, pour les valeurs qu’il porte et ce qu’il apporte aux parents dans la transmission de leurs valeurs. Renoncer au voyage ? C’est non. Pourtant impossible de penser voyager « comme avant ». Quant à imaginer un voyager réservé aux riches, c’est non aussi. Le voyage doit demeurer démocratique et élévateur. Comment faire ?
  • Le bonheur individuel se heurte au bonheur collectif. Pour rester dans les limites planétaires, les consommateurs doivent sacrifier une partie de leur bonheur immédiat au profit du bonheur différé de leurs enfants. Pas simple quand, dans nos sociétés, le bonheur passe par l’avoir, le bien-être et le confort individuel. Comment faire ?
  • La consommation, portée aux nues, est chahutée. Le consommateur famille est tout à la fois dégoûté d’être trompé… et stigmatisé quand il ne renonce pas assez. Il revendique une consommation simple, qui laisse une place au plaisir. Mais se heurte à la question du prix. Et c’est du coût, nous passions à la valeur ?
  • Le progrès, c’est louche. Ou en tous cas, il est mis en doute. Il n’est plus l’idéal qu’il était et devient suspect. Pourtant, le progrès est clé dans la médecine, etc… qu’il soit bénéfique à l’humain est la clé.

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