Les modèles pérennes visent la création d’une Valeur Étendue.
Vers des interdépendances fertiles
Le point de départ
La création de valeur est communément transactionnelle (on produit, on distribue, on vend), et tournée vers le client. Le tout dans un contexte de répartition plutôt mal équilibrée, à l’échelle planétaire, de la valeur monétaire, concentrée chez les détenteurs de capitaux. Or, la bonne santé de l’entreprise ne dépend pas seulement de sa richesse, et les limites rencontrées aujourd’hui avec la raréfaction des ressources, les changements de conditions climatiques et le renchérissement de l’énergie comme les changements de régulation démontrent combien les équilibre seulement basés sur la capacité financière sont menacés.
La solution ? Recherche la valeur étendue.
L’approche
Dans un système vivant, la bonne santé de l’un des membres du système dépend de la bonne santé de tout le système. C’est la loi des vases-communiquants ou encore la théorie des dominos ! Dans le cadre de l’architecture de valeur actuelle, à la production de valeur succède la distribution de valeur permettant l’appropriation de la valeur par le client. Il n’y a que peu d’interdépendances car la dimension contractuelle et la pratique de la gestion et de l’assurance du risque vient lisser l’impact d’une défaillance d’un maillon sur toute la chaîne… jusqu’au moment où ça ne passe plus.
La recherche de la valeur étendue consiste en cela : avant que ça ne passe plus, identifier les espaces de réciprocité et rechercher spécifiquement sur ces espaces à générer des effets bénéfiques pour chacun par des effets directs et/ou indirects bénéfiques.
On retrouve dans cette logique 3 principes du Vivant :